Citation de BOSSUET extraite de l'article "vif, vive" du dictionnaire de français Littré
Afin que notre aumône soit un sacrifice, ne jetons pas seulement un superflu qui ne coûte rien à la nature, mais prenons quelque chose sur le vif, en sorte que nous souffrions pour notre frère
(Jacques-Bénigne BOSSUET, Méd. sur l'Év. 2e partie, 11e jour.)