Citation de MARIVAUX extraite de l'article "dépêcher" du dictionnaire de français Littré
Ajoutez à cela les courses de ce même laquais dont je vous ai parlé, que mon fils dépêche quatre fois par jour et avec qui, quand il revient, il a toujours de fort longs entretiens
(Pierre de MARIVAUX, Vie de Marianne, 4e partie, p. 225)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Ma mère qui était la seule dont je dépendais alors, car mon père était mort.... | Paysan parv. t. II, 4e part. p. 105, dans POUGENS | dépendre [2] |
Il était extrêmement dépensier, surtout quand il s'agissait de ses plaisirs | Paysan parv. 1re part. p. 30, dans POUGENS | dépensier, ière |
Dans ce monde, toutes les vertus sont déplacées, aussi bien que les vices ; les bons et les mauvais coeurs ne se trouvent point à leur place | Paysan parv. t. I, 1re partie, p. 78, dans POUGENS | déplacé, ée |
Et cette jeune fille qui vous dérange, qui fait que vous manquez à votre parole, il se trouve que c'est moi | Marianne, 4e partie. | déranger |
Mon fiacre fut obligé de me descendre à quelques pas de chez elle | Paysan parv. t. III, 5° part. p. 77, dans POUGENS | descendre |
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