Citation de DE LABORDE extraite de l'article "mordant [2]" du dictionnaire de français Littré
Anciennement, pièce de métal qui s'appliquait à l'extrémité de cette partie de la ceinture qu'on laissait pendre, après le noeud formé autour de la boucle, d'à peu près trente centimètres de longueur chez les hommes, chez les femmes jusqu'à terre
(Léon de LABORDE, Émaux, p. 397)
Autres citations de Léon de LABORDE
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Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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Le degré de perfection auquel l'art de teindre les laines et les étoffes était parvenu dès les temps les plus reculés, ne permet pas de douter que les anciens ne connussent aussi l'usage des mordants, sans lesquels il ne peut y avoir de vraie teinture | AMEILHON | Instit. Mém. litt. et beaux-arts, t. III, p. 358 | mordant [2] |
On donne le nom de mordant à toutes les substances qui servent d'intermédiaires entre les principes colorants et les matières à teindre | GIRARDIN | Leçons de chim. élém. 37e leçon, Paris, 1846 | mordant [2] |
Autre usage de l'eau de cire : c'est un bon mordant pour la dorure | DIDEROT | Peint. en cire, Oeuv. t. XV, p. 393, dans POUGENS | mordant [2] |