Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "gré" du dictionnaire de français Littré
Aucun commissaire espagnol ne trahit son correspondant français ; cette fidélité, si honorable à la nation espagnole, prouve bien que les hommes n'obéissent de bon gré qu'aux lois qu'ils se sont faites pour le bien de la société
(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, Moeurs, 145)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Très peu de gré, mille traits de satire Sont le loyer de quiconque ose écrire | Épître à la duch. du Maine. | gré |
Je sais un gré infini à Collé d'avoir mis Henri IV sur le théâtre ; son nom seul attirera tout Paris pendant six mois | Lett. d'Argental, 17 avril 1762 | gré |
Le public vous en saurait gré, si le public sait jamais gré de quelque chose | Lett. Richelieu, 20 avril 1770 | gré |
Il [Baratier] sut le grec à six ans, et l'hébreu à neuf | Louis XIV, Écrivains. | grec, ecque |
Gardez-vous bien de me prendre pour un grec sur tout ce que je vous dis là ; car je suis l'homme du monde le moins grec | Lett. Chabanon, 9 mars 1772 | grec, ecque |
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Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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On la considère comme ayant agi contre son gré | PASCAL | Prov. 4 | gré |
Les affections sont aussi différentes que le sont les caractères, et le gré de l'un est souvent tout opposé à celui de l'autre | BOURDALOUE | Pensées, t. II, p. 481 | gré |
Si vous prenez pour eux cette fortune en gré, [ils] Vous chériront encore en un plus haut degré | MAIRET | Sophon. v, 2 | gré |
L'évêque de Warmie prit en gré de vouloir faire la cérémonie du mariage dans Notre-Dame | RETZ | II, 77 | gré |
Mais s'il lui prend un jour en gré de revenir | DANCOURT | Céphale et Procris, II, 7 | gré |