Citation de D'ALEMBERT extraite de l'article "prendre" du dictionnaire de français Littré
Bienfaisant et par conséquent juste, Montesquieu ne voulait rien prendre sur sa famille, ni des secours qu'il donnait aux malheureux, ni des dépenses considérables auxquelles ses longs voyages, la faiblesse de sa vue et l'impression de ses ouvrages l'avaient obligé
(Jean Le Rond D'ALEMBERT, Éloges, Montesq.)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Ce piége [une adroite flatterie] ne sera jamais usé ; l'amour propre des rois et des grands s'y prendra toujours | Éloges, Despréaux, note 13 | prendre |
Sa vessie le fait souffrir, et il s'en prend à qui il peut | Lett. à Voltaire, 31 oct. 1761 | prendre |
Bien préparés contre l'admiration, ils allèrent entendre Fléchier, et se virent forcés d'avouer qu'il était vainqueur | Éloges, Fléchier. | préparé, ée |
Que le soleil vienne éclairer tout à coup les habitants d'une caverne obscure, qu'il darde impétueusement ses rayons dans leurs yeux non préparés, il ne fera que les aveugler pour jamais | Réflex. sur la poés. Oeuv. t. IV, p. 128, dans POUGENS. | préparé, ée |
Jouir du présent, et s'inquiéter peu de l'avenir, telle est la logique commune, logique moitié bonne, moitié mauvaise, dont il ne faut pas espérer que les hommes se corrigent | Réfl. sur l'inocul. Oeuv. t. IV, p. 346, dans POUGENS. | présent, ente [1] |
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