Citation de MALEBRANCHE extraite de l'article "naturel, elle" du dictionnaire de français Littré
C'est Dieu même qui éclaire les philosophes dans les connaissances que les hommes ingrats appellent naturelles, quoiqu'elles ne leur viennent que du ciel
(Nicolas MALEBRANCHE, Rech. vér. III, II, 6)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Il est évident que des sons et des paroles n'ont point et ne peuvent avoir naturellement de rapport aux choses qu'elles signifient, quoi qu'en disent le divin Platon et le mystérieux Pythagore | Rech. vér. Éclairciss. liv I, t. IV, p. 101, dans POUGENS. | naturellement |
Il n'est pas nécessaire de passer deux fois la ligne pour voir observer religieusement des lois et des coutumes déraisonnables | Rech. vér. II, III, 2 | nécessaire |
S'étant approché jusqu'au point qu'on appelle le foyer négatif de la loupe, c'est-à-dire un foyer pris de l'autre côté de la loupe | Rech. vér. éclairciss. sur l'optique, t. IV, p. 439, dans POUGENS. | négatif, ive |
La noblesse d'une science se tire de la noblesse de son objet : c'est un grand principe | Rech. vér. IV, 7 | noblesse |
Ils appellent indifféremment du nom odieux de novateur les hérétiques et les nouveaux philosophes | Rech. vér. II, II, 3 | novateur, trice |
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