Citation de CORNEILLE extraite de l'article "sentir" du dictionnaire de français Littré
C'était fait de ma vie, ils me traînaient à l'eau ; Mais, sentant du secours, ils ont craint pour leur peau
(Pierre CORNEILLE, Suite du Ment. IV, 7)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| On n'a tous deux qu'un coeur qui sent mêmes traverses | Poly. I, 3 | sentir |
| Avant que de frapper, elle [son entreprise] lui fit sentir [à Brutus, meurtrier de César] Plus d'un remords en l'âme et plus d'un repentir | Cinna, III, 2 | sentir |
| Cela sentirait trop sa fin de comédie | Gal. du Pal. V, 8 | sentir |
| Je ne hais point la vie et j'en aime l'usage, Mais sans attachement qui sente l'esclavage | Poly. V, 2 | sentir |
| Par d'inquiétants transports me sentant émouvoir | Poés. div. Élégie. | sentir |
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| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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| Nous ne sentons ni l'extrême chaud, ni l'extrême froid | PASCAL | Pens. I, I, édit. HAVET | sentir |
| Elle n'a point encore senti son enfant ; elle sera bientôt à quatre mois et demi | MAINTENON | Lett. à d'Aubigné, 20 févr. 1682 | sentir |
| La Mollesse oppressée Dans sa bouche à ce mot sent sa langue glacée | BOILEAU | Lutr. II | sentir |
| Je sentis tout mon corps et transir et brûler | RACINE | Phèd. I, 3 | sentir |
| J'ai senti tout à coup un homicide acier Que le traître en mon sein a plongé tout entier | RACINE | Ath. II, 5 | sentir |