Ce qu'on appelle une oraison funèbre, n'est... : citation de LA BRUYÈRE dans le dictionnaire de français Littré adapté du grand dictionnaire de la langue française d'Emile Littré

Citation de LA BRUYÈRE extraite de l'article "il [1]" du dictionnaire de français Littré

(Jean de LA BRUYÈRE, XV)

Citation	Œuvre	Entrée
Ceux qui commençaient à le goûter, n'osant avaler le morceau qu'ils ont à la bouche, ils le jettent à terre	V	il [1]
Un noble, s'il vit chez lui dans sa province, il vit libre	VIII	il [1]
L'homme du meilleur esprit est inégal ; il souffre des accroissements et des diminutions ; il entre en verve, mais il en sort ; alors, s'il est sage, il parle peu, il n'écrit point ; il ne cherche point à imaginer ni à plaire	XI	imaginer
Il y a des stupides et, j'ose dire, des imbéciles qui se placent en de beaux postes et qui savent mourir dans l'opulence, sans qu'on les doive soupçonner en aucune manière d'y avoir contribué de leur travail ou de la moindre industrie	VI	imbécile
Il ne faut pas penser à gouverner un homme tout d'un coup.... il faut tenter auprès de lui les petites choses ; et de là le progrès jusqu'aux plus grandes est immanquable	IV	immanquable
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Citation	Auteur	Œuvre	Entrée
Son coeur, pour se livrer, à peine devant moi S'est-il donné le temps d'en recevoir la loi	MOLIÈRE	Femmes sav. IV, 1	il [1]
Il m'en doit bien souvenir, ma foi !	MOLIÈRE	Préc. rid. 12	il [1]
À déboucher la porte il irait trop du vôtre	MOLIÈRE	Remerc. au roi.	il [1]
Il est aujourd'hui le six de mars	SÉVIGNÉ	6 mars 1671	il [1]
Et ces fleurs qui là-bas entre elles se demandent S'il est fête au village...	BOILEAU	Épît. X	il [1]