Citation de ROLLIN extraite de l'article "patronage [1]" du dictionnaire de français Littré
Ce qui contribua le plus à mettre une parfaite concorde dans ce peuple naissant, fut le droit de patronage établi par Romulus
(Charles ROLLIN, Traité des Ét. V, III, 2)
Autres citations de Charles ROLLIN
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| Après avoir achevé le temple qu'on nommait Hécatonpédon, ils renvoyèrent libres toutes les bêtes de charge qui avaient fourni à ce travail, et leur assignèrent de gras pâturages comme à des animaux consacrés | Hist. anc. Oeuv. t. IV, p. 509, dans POUGENS | pâturage |
| Ils [les Gaulois] n'opposaient que de petits pavois aux épées des Romains, qui étaient lourdes et massives | Hist. anc. t. IX, p. 130, dans POUGENS | pavois |
| Ce satrape donne un mois de paye à toute l'armée sur le pied d'une drachme, c'est-à-dire de dix sous à chaque soldat par jour | Hist. anc. Oeuvr. t. IV, p. 6, dans POUGENS | paye |
| Il payait de sa personne dans les combats, où il gardait toujours son sang-froid | Hist. anc. Oeuv. t. III, p. 167, dans POUGENS | payer |
| Les combats précédents vous ont rendu maître du plat pays | Hist. anc. Oeuv. t. I, p. 434, dans POUGENS | pays |
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