Citation de MARIVAUX extraite de l'article "tristesse" du dictionnaire de français Littré
Ce sont des tristesses retirées dans le fond de l'âme qui la flétrissent et qui la laissent comme morte
(Pierre de MARIVAUX, Marianne, 9e part.)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Je n'aime plus cette Margot : seulement quelquefois son petit nez me trotte encore dans la tête | Surp. de l'amour, I, 2 | trotter |
| Je ne connais, lui dis-je, ni le tueur, ni les tués | Pays. parv. 3° part. | tueur |
| Bourguignon, ne nous tutoyons plus, je t'en prie | Jeux de l'am. et du has. II, 9 | tutoyer |
| Notre orgueil et nous ce n'est qu'un, au lieu que nous et notre vertu c'est deux | Marianne, 2e part. | un, une |
| De beaux bras sous du linge uni ; on les en remarque mieux là-dessous, cela les rend plus sensibles | Pays. parv. 3e part. | uni, ie [1] |
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