Citation de MALEBRANCHE extraite de l'article "pédant" du dictionnaire de français Littré
Ce terme pédant est fort équivoque ; mais l'usage, ce me semble, et même la raison veulent qu'on appelle pédants ceux qui, pour faire parade de leur fausse science, citent à tort et à travers toutes sortes d'auteurs, qui parlent simplement pour parler et pour se faire admirer des sots
(Nicolas MALEBRANCHE, Rech. vér. II, III, 3)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Si Alexandre penche la tête, ses courtisans penchent la tête | Rech. vér. II, III, 2 | pencher |
Passer toutes les nuits pendu à une lunette pour découvrir dans les cieux quelque nouvelle planète | Rech. vér. IV, 7 | pendu, ue |
La pensée toute seule est donc l'essence de l'esprit, ainsi que l'étendue toute seule est l'essence de la matière | Rech. vér. III, I, 1 | pensée [1] |
Nos jugements ont plus d'étendue que nos perceptions | Rech. vér. III, II, 9 | perception |
Les corps peuvent donc changer, mais ils ne peuvent pas périr | Rech. vér. IV, 2 | périr |
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