Citation de GENLIS extraite de l'article "aniécer" du dictionnaire de français Littré

Chaque chanoinesse ayant fait des voeux avait le droit d'aniécer, c'est-à-dire d'adopter pour sa nièce une jeune chanoinesse étrangère, sous la condition que cette jeune personne prononcerait ses voeux quand elle en aurait l'âge, et qu'en attendant elle resterait toujours avec elle ; Mme la comtesse de Cluny.... offrit de m'aniécer

(Stéphanie Félicité Ducrest de St-Albin, comtesse de GENLIS, Mém. t. I, p. 21)