Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "recuit, uite [1]" du dictionnaire de français Littré
Comme ces humeurs ont été engendrées par une longue succession de temps, elles y sont recuites et ont acquis cette malignité qui fume vers la région du cerveau
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, Am. méd. II, 5)
| Citation | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|
| C'est un accident qui a fait reculer son mariage | Méd. m. lui, II, 6 | reculer [1] |
| Reculez un peu pour la troisième [révérence] | Bourg. gent. III, 19 | reculer [1] |
| Ah ! coquin ! ah ! canaille ! vous en voulez par là !... soutenez, marauds ; soutenez.... comment, vous reculez ! | Fourber. II, 9 | reculer [1] |
| Si je me défends, ce n'est qu'en reculant | F. sav. IV, 3 | reculer [1] |
| J'accepte la proposition, et ne suis point personne à reculer lorsqu'on m'attaque d'amitié | Fourber. III, 1 | reculer [1] |
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Citations d'autres auteurs extraites de l'article "recuit, uite [1]" du dictionnaire de français Littré
| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|---|
| La cendre qui est recuite et entassée dans le foyer | DESCARTES | Météor. 6 | recuit, uite [1] |
| M. Guillemeau a été un courtisan recuit et rusé | PATIN | Lettres, t. II, p. 256 | recuit, uite [1] |