Citation de HAMILTON extraite de l'article "coiffer" du dictionnaire de français Littré
Comment ce garçon s'était coiffé d'un visage à faire peur
(Antoine HAMILTON, Gramm. 10)
| Citation | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|
| Elle se coiffait de toute sa force en faveur de Matta | Gramm. 4 | coiffer |
| Elle était arrivée plus jaune qu'un coing | Gramm. 7 | coing |
| Le colin-maillard était de ses passe-temps les plus heureux | Gramm. 7 | colin-maillard |
| Il était tous les Jours collé sur les livres | Gramm. 10 | collé, ée |
| Un génie qui à cet âge méprisait le petit collet | Gramm. III | collet |
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| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|---|
| On renversa la table, on coiffa d'un potage le pauvre Vine-ville qui n'en pouvait pas davantage | RETZ | III, 6 | coiffer |
| Quel est le cabaret honnête Où tu t'es coiffé le cerveau ? | MOLIÈRE | Amph. III, 2 | coiffer |
| [Perruquier] prétendant n'avoir point coiffé de jolies femmes dont il n'eût coiffé les maris | ROUSSEAU | Conf. III | coiffer |
| Fille se coiffe volontiers D'amoureux à longue crinière | LA FONTAINE | Fabl. IV, 1 | coiffer |
| Faut-il de ses appas m'être si fort coiffé ? | MOLIÈRE | École des f. III, 5 | coiffer |