Citation de COLLIN D'HARLEVILLE extraite de l'article "dédire" du dictionnaire de français Littré
Comment, vous avez cru que j'irais me dédire à cause du revers qui vous est survenu
(Jean-François COLLIN D'HARLEVILLE, Optimiste, IV, 8)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Ah ! nous verrons un peu S'ils feront déguerpir la nièce et le neveu | Vieux célib. II, 10 | déguerpir |
| Souvent ces dehors froids cachent des coeurs sensibles | Optimiste, II, 10 | dehors |
| Hé bien ! mon cher monsieur, êtes-vous délassé ? | Chât. en Esp. II, 4 | délassé, ée |
| Quant à moi, je ne suis malheureux qu'à demi ; Car, si je perds un gendre, il me reste un ami | Optim. IV, 8 | demi, ie |
| [Il] Dérange les fauteuils, dépend lustre et tableaux | Malice pour mal. I, 8 | dépendre [1] |
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| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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| Croyez qu'il me déplaît, et très sensiblement, De vous devoir dédire une fois seulement | ROTROU | Antig. II, 2 | dédire |
| Mon coeur vous en dédit, un secret mouvement Qui le penche vers vous malgré moi vous dément | CORNEILLE | D. San. IV, 3 | dédire |
| Les rois impunément dédisent leurs sujets | CORNEILLE | Perthar. II, 3 | dédire |
| Que sert la volonté d'un chef qu'on peut dédire ? | CORNEILLE | Sophon. I, 3 | dédire |
| Il m'a donnée à vous, et nul autre que moi N'a droit de l'en dédire, et me choisir un roi | CORNEILLE | Nicom. I, 1 | dédire |