Citation de BOURDALOUE extraite de l'article "abominable" du dictionnaire de français Littré
De l'offrir [le saint sacrifice de l'Eucharistie] pour avoir de quoi contenter nos passions, de quoi nourrir nos cupidités... ne serait-ce pas l'usage le plus abominable ?
(Louis BOURDALOUE, Pens. t. III, p. 291)
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| Il serait à souhaiter que ces abominations fussent ensevelies dans un éternel oubli | Pens. t. III, p. 135 | abomination |
| Parce qu'il ne jeûnait et qu'il ne payait si abondamment la dîme que par orgueil | Pens. t. II, p. 136 | abondamment |
| C'est aux âmes les plus vigilantes, les plus attentives sur elles-mêmes que vous vous [Dieu] communiquez avec plus d'abondance | Pens. t. II, p. 16 | abondance |
| De là jusqu'au milieu de l'abondance les plus sordides épargnes | Pens. t. III, p. 147 | abondance |
| Ce n'est point par une abondance de paroles que l'on s'énonce ; souvent la bouche ne dit rien, et l'âme sent | Pens. t. III, p. 308 | abondance |
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| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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| Tout ce qui est dans les hommes, est abominable | PASCAL | Édit. Cousin. | abominable |
| Des plaisirs abominables | PASCAL | ib. | abominable |
| Ah ! quel abominable maître me vois-je obligé de servir | MOLIÈRE | Festin de Pierre, I, 14 | abominable |
| Voilà, je vous l'avoue, un homme abominable | MOLIÈRE | Tart. IV, 6 | abominable |
| Qui ? ce chef d'une race abominable, impie | RACINE | Est. II, 1 | abominable |