Citation de ROLLIN extraite de l'article "morceau" du dictionnaire de français Littré
De tous ses ouvrages [de Longin], le temps ne nous a conservé que son traité du Sublime, qui est un des plus beaux morceaux qui nous restent de l'antiquité
(Charles ROLLIN, Hist. anc. Oeuvr. t. XI, 2e part. p. 662, dans POUGENS.)
Autres citations de Charles ROLLIN
Citation | Œuvre | Entrée |
---|---|---|
Le génie déclamateur et mordant de Juvénal | Hist. anc. liv. XXVe, ch. 1, art. 2, § 3 | mordant, ante [1] |
On remarque que l'or résiste aux impressions et aux morsures du sel et du vinaigre, qui résolvent et qui domptent toutes les autres matières | Hist. anc. Oeuv. t. X, p. 522, dans POUGENS | morsure |
Il [Démétrius] se montra à cette multitude, qui était plus morte que vive, et qui attendait dans un tremblement qui ne peut s'exprimer l'arrêt de sa condamnation | Hist. anc. Oeuv. t. VII, p. 275, dans POUGENS | mort, orte [1] |
Il n'y avait de sûreté qu'en le faisant mourir.... car, dit-il en se servant du proverbe, les morts ne mordent point | Hist. anc. Oeuv. t. X, p. 309, dans POUGENS | mort, morte [2] |
Après avoir fait des prières à Jupiter et à Mercure terrestres, il [Léonidas] invite ces vaillants hommes à ce festin funèbre et à ces effusions mortuaires | Hist. anc. Oeuv. t. III, p. 273, dans POUGENS | mortuaire |
Plus de citations de ROLLIN... |