Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "commun, une" du dictionnaire de français Littré
Eh ! qui n'éprouve hélas ! dans la perte commune Les tristes sentiments de sa propre infortune ?
(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, Orphel. I, 1)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| C'est le commun peuple qui veut que ses maîtres soient les esclaves des évêques | Moeurs, 46 | commun, une |
| Les grands talents sont rares ; mais la science et la raison sont communes | Lett. Gallitzin, 14 août 1767 | commun, une |
| J'ai vérifié qu'année commune il n'y naît [à Rome] que 3500 enfants | Phil. III, 346 | commun, une |
| Il y avait les jésuites du grand commun et surtout les jésuites des femmes de chambre | Ingénu, 13 | commun, une |
| Les Perses eurent des communautés de cénobites | Moeurs, 139 | communauté |
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| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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| Par un mouvement commun à la nature Quelque maligne joie en son coeur s'élevait | CORNEILLE | Pomp. III, 1 | commun, une |
| Tout doit être commun entre de vrais amants | CORNEILLE | Cinna, V, 2 | commun, une |
| Le sentiment de l'immortalité leur est commun à tous | MASSILLON | Carême. Vérité d'un avenir | commun, une |
| Hélas ! on ne comprenait point alors que tout ne dût pas être commun parmi ceux qui étaient obligés de n'avoir qu'un coeur et qu'une âme, qui avaient la même foi, la même espérance.... | MASSILLON | Confér. Usage des revenus ecclésiastiques | commun, une |
| Vous voyez de là que l'amour de la retraite et du silence n'est pas commun à tous les dévots | PASCAL | Prov. 9 | commun, une |