Citation de RACINE extraite de l'article "long, ongue" du dictionnaire de français Littré
En longs habits de lin
(Jean RACINE, Ath. II, 1)
| Citation |
Œuvre |
Entrée |
| D'où vient qu'en m'écoutant, vos yeux, vos tristes yeux Avec de longs regards se tournent vers les cieux ? |
Brit. V, 1 |
long, ongue |
| Que m'importe, après tout, que Néron plus fidèle D'une longue vertu laisse un jour le modèle ? |
Brit. I, 1 |
long, ongue |
| Toujours évanouie, Madame, elle ne marque aucun reste de vie Que par de longs soupirs et des gémissements |
Baj. IV, 5 |
long, ongue |
| Ses longs mugissements font trembler le rivage |
Phèdre, V, 6 |
long, ongue |
| Ah ! que le temps est long à mon impatience ! |
Esth. II, 1 |
long, ongue |
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| Citation |
Auteur |
Œuvre |
Entrée |
| Un jour, sur ses longs pieds, allait je ne sais où Le héron au long bec emmanché d'un long cou |
LA FONTAINE
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Fabl. VII, 4 |
long, ongue |
| On ne concevait pas comment la tête de cette colonne pourrait traîner et soutenir, dans une si longue route, une aussi lourde masse d'équipages |
SÉGUR
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Hist. de Nap. IX, 1 |
long, ongue |
| Le divorce est signé de cette même main Que l'on voit à longs flots verser le sang romain |
VOLTAIRE
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Triumv. I, 2 |
long, ongue |
| Les jansénistes ont la phrase trop longue : fasse le ciel qu'ils n'aient jamais les bras longs ! |
VOLTAIRE
|
Lett. La Harpe, 2 juin 1768 |
long, ongue |
| Promettez-moi de prendre toujours le plus long et le plus sûr ; il n'y a nulle comparaison entre s'ennuyer et se noyer |
SÉVIGNÉ
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17 nov. 1688 |
long, ongue |