Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "avili, ie" du dictionnaire de français Littré
Est-il un homme plus avili ? Si notre scène devient anglaise, nous sommes bien avilis ; nous ne sommes déjà que les traducteurs de leurs romans
(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, Lett. Mlle Clairon, 18 oct. 1760)
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| Ils dressent d'une main dans les fers avilie Ce siége de l'orgueil et de la tyrannie | Alz. II, 6 | avili, ie |
| Dans un sort avili noblement élevée | Tancr. I, 4 | avili, ie |
| La vertu s'avilit à se justifier | Oedipe, II, 4 | avilir |
| On peut, sans s'avilir, S'abaisser sous les dieux, les craindre et les servir | Sémir. II, 7 | avilir |
| Moi, jaloux ! qu'à ce point ma fierté s'avilisse ! | Zaïre, I, 5 | avilir |
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| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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| Le burlesque, si justement avili depuis, était alors fort à la mode | D'ALEMBERT | II, 168 | avili, ie |