Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "médecine" du dictionnaire de français Littré
Et nous, pauvres Persans [Français], parce que nous sommes votre peuple, nous ne pouvons [à cause d'un cordon militaire autour de Genève] ni avoir à manger, ni recevoir nos lettres de Babylone [Paris], ni envoyer nos esclaves chercher une médecine chez les apothicaires de Scythopolis [Genève]
(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, Lett. duc de Choiseul, 9 janv. 1767)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Quand on dit que l'Allemagne fut libre alors, il faut l'entendre des princes et des villes impériales ; car, pour les villes médiates, elles sont sujettes des grands vassaux auxquels elles appartiennent | Ann. Emp. Ferdinand III, Tableau. | médiat, ate |
La reine d'Angleterre, l'épouse de Georges II, qui a servi de médiatrice entre les deux plus grands métaphysiciens de l'Europe, et qui pouvait les juger | Alzire, Ép. dédic. | médiateur, trice |
Si vous voulez, madame, être médiatrice de la paix, il ne tient qu'à vous | Lett. Mme de Choiseul, 15 juill. 1768 | médiateur, trice |
L'Espagne et la France venaient de remettre leur querelle à sa médiation | Charles XII, 1 | médiation |
Je suis arrêté à Paris par Bosleduc qui me médicamente | Lett. Mme de Bernières, 1724 | medicamenter |
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