Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "à" du dictionnaire de français Littré
Et que deviendra lors cette publique estime, Qui te vante partout pour un fourbe sublime, Et que tu t'es acquise en tant d'occasions à ne t'être jamais vu court d'inventions ?
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, l'Étourdi, III, 1)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| L'allégresse du coeur s'augmente à la répandre | Écol. des F. IV, 6 | à |
| La curiosité qui vous presse est bien forte, Ma mie, à nous venir écouter de la sorte | Tart. II, 2 | à |
| Il faut avec vigueur ranger les jeunes gens, Et nous faisons contre eux à leur être indulgents | Éc. des F. V, 7 | à |
| À parler franchement | l'Étourdi, I, 9 | à |
| À vous dire la vérité | D. Juan, I, 3 | à |
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Citations d'autres auteurs extraites de l'article "à" du dictionnaire de français Littré
| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|---|
| Il n'est rien de cela aux exemples des payens ; nous n'avons pas de liaison à eux | PASCAL | Pens. II, 17 | à |
| Je méditais ma fuite aux terres étrangères | RACINE | Baj. III, 2 | à |
| Quelque effort que l'on fasse à rompre vos beaux noeuds | CORNEILLE | Her. I, 4 | à |
| Il n'a pas de peine à se rendre | LA FONTAINE | Fab. VIII, 7, 4 | à |
| Il est loisible à tout homme de.... Il était naturel à Adam et juste à son innocence | PASCAL | édit. Cousin. | à |