Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "évader (s')" du dictionnaire de français Littré
Fourbe, tu crois par là peut-être t'évader
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, Amph. III, 5)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
Son fils, qui m'embarrasse, est un évaporé |
le Dép. III, 1 |
évaporé, ée |
Je n'étais point fâché d'évaporer ma bile |
l'Ét. IV, 8 |
évaporer |
Jamais, certes, jamais plus beau commencement N'eut en si peu de temps plus triste événement |
l'Étour. II, 13 |
événement |
Que l'on me vît connu d'un pareil éventé |
Fâch. I, 1 |
éventé, ée |
M'obliger à porter de ces petits chapeaux Qui laissent éventer leurs débiles cerveaux [des jeunes gens à la mode] |
Éc. des mar. I, 1 |
éventer |
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Citation |
Auteur |
Œuvre |
Entrée |
Comme on ne le trouvait point, on croyait qu'il [Arétin] se fût évadé [hors de l'enfer], et on n'avait garde de s'imaginer qu'il était avec Auguste |
FONTENELLE
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Jug. de Plut. |
évader (s') |
Nous nous évadons sans être aperçus, et nous nous renfermons dans notre chambre |
ROUSSEAU
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Émile, III |
évader (s') |
Ce n'est pas mon dessein qu'on me fasse évader |
CORNEILLE
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Polyeucte, IV, 1 |
évader (s') |
Nous nous amusons trop, il est temps d'évader |
CORNEILLE
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Illus. com. IV, 9 |
évader (s') |
Comme après le coup fait vous étiez évadé |
CORNEILLE Th.
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Galant doublé, I, 1 |
évader (s') |