Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "quitter" du dictionnaire de français Littré
Ho ! poussez ; je le quitte, et ne raisonne plus
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, le Dép. II, 1)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Ah ! je le quitte maintenant, et je n'y vois plus de remède | G. Dand. III, 15 | quitter |
Ma présence le chasse, Et je ferai bien mieux de lui quitter la place | Tart. II, 4 | quitter |
Mettez dans vos discours un peu de modestie, Ou je vais sur-le-champ vous quitter la partie | Tart. III, 2 | quitter |
Je veux demeurer pour t'encourager à la mort, et je ne te quitterai point que je ne t'aie vu pendu | Méd. malg. lui, III, 9 | quitter |
Fort bien ; et cette fièvre a bientôt quitté prise | Tart. III, 3 | quitter |
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Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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Ne devaient-ils pas se tenir bien heureux que mon ambition ne leur coûtât pas davantage ? on ne les en pouvait quitter à meilleur marché | FONTENELLE | Dial. 1er, Morts. anc. | quitter |
Réponds-moi seulement de l'avenir ; je te quitte du reste | RAYNAL | Hist. phil. X, 8 | quitter |
Celui qui reçoit la grâce, à qui l'on quitte toutes ses dettes | BOSSUET | Sermons, Temps du jubilé, 1 | quitter |
Je vous quitte de la peine de me répondre | SÉVIGNÉ | à Pompone, 20 nov. 1664 | quitter |
Ce sont des amitiés de l'agonie [lettres tendres de M. de la Trousse à sa mère mourante], dont je ne fais pas grand cas ; j'en quitte ceux qui ne commenceront que là à m'aimer | SÉVIGNÉ | 27 avr. 1672 | quitter |