Citation de LEROUX DE LINCY extraite de l'article "malade" du dictionnaire de français Littré
Il est fort malade, rien ne lui demeure à la bouche [par ironie, il se porte fort bien]
(Antoine LE ROUX DE LINCY, Prov. t. I, p. 263)
| Citation | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|
| Le semer et la moisson Ont leur temps et leur saison | Prov. t. I, p. 79 | moisson |
| Le monde est rond ; qui ne sait nager va au fond | Prov. t. II, p. 330 | nager |
| Noël est plus beau aux champs qu'à la ville | Prov. t. I, p. 113 | noël |
| Le Normand tourne autour du bâton, le Gascon saute par dessus | Prov. t. II, p. 610 | normand, ande |
| Il est plus d'ouvriers que de maîtres | Prov. t. II, p. 143 | ouvrier, ière |
| Plus de citations de LEROUX DE LINCY... | ||
Citations d'autres auteurs extraites de l'article "malade" du dictionnaire de français Littré
| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|---|
| Qui ne sent point son mal est d'autant plus malade | CORNEILLE | Rodog. III, 6 | malade |
| Flavie, au lit malade, en meurt de jalousie | CORNEILLE | Théod. I, 1 | malade |
| Qui fait le plus de bruit n'est pas le plus malade | CORNEILLE | Perthar. III, 3 | malade |
| Mais, monsieur, mettez la main à la conscience : est-ce que vous êtes malade ? | MOLIÈRE | Mal. imag. I, 5 | malade |
| Quand je vous écris de grandes lettres, ma chère enfant, vous avez peur que cette application ne me fasse malade | SÉVIGNÉ | 30 juill. 1877 | malade |