Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "étoffe" du dictionnaire de français Littré
Il était fort obligeant, fort officieux ; et, comme il se connaissait fort en étoffes, il en allait choisir de tous côtés, les faisait apporter chez lui et en donnait à ses amis pour de l'argent
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, Bourg. gent. IV, 5)
| Citation | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|
| L'étoffe me sembla si belle que j'en ai voulu lever un habit pour moi | ib. II, 8 | étoffe |
| Je tâte votre habit ; l'étoffe en est moelleuse | Tart. III, 3 | étoffe |
| Je fus étonné que, deux jours après, il me montra toute l'affaire exécutée.... | Préf. de la Crit. de l'Éc. des f. | étonné, ée |
| Faut-il s'étonner s'il n'a pu venir ? Je ne m'étonne pas si je romps tes attentes | l'Ét. III, 5 | étonner |
| Ne vous étonnez pas si je m'informe des nouvelles de toute la famille, car j'y prends beaucoup d'intérêt | le Fest. de P. IV, 3 | étonner |
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Citations d'autres auteurs extraites de l'article "étoffe" du dictionnaire de français Littré
| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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| Ils [les Spartiates] ne pouvaient s'imaginer que ce même homme [Alcibiade] eût jamais eu chez lui de cuisinier, qu'il eût porté de fines étoffes de Milet | ROLLIN | Hist. anc. Oeuvres, t. III, p. 644, dans POUGENS | étoffe |
| Vous taillerez en pleine étoffe ; Vite un congrès.... | BÉRANGER | Christophe. | étoffe |
| L'étoffe me manque quelquefois pour remplir mes lettres | SÉVIGNÉ | 446 | étoffe |
| Ce que vous me mandez est l'étoffe de dix épigrammes | SÉVIGNÉ | 320 | étoffe |
| J'ai bien un avis d'autre étoffe | RÉGNIER | Épît. III | étoffe |