Citation de SÉGUR extraite de l'article "embellissement" du dictionnaire de français Littré

Ils [les cosaques] ajoutaient que c'était un larcin fait à son pays [aller mourir en terre étrangère] ; que, vif, on se devait à sa culture, à sa défense, à son embellissement ; que, mort, on lui devait son corps qu'on tenait de lui, qu'il avait nourri, et dont à son tour on devait le nourrir

(Philippe de SÉGUR, Hist. de Napol. VIII, 10)