Citation de GENLIS extraite de l'article "frayé, ée [1]" du dictionnaire de français Littré
J'ai toujours peine à me persuader que la route la plus frayée ne soit pas la meilleure
(Stéphanie Félicité Ducrest de St-Albin, comtesse de GENLIS, Ad. et Théod. t. I, lett. 38, p. 339, dans POUGENS)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Les fredaines qu'on fait ensemble rendent camarades | Théâtre d'éduc. la Curieuse, III, 5 | fredaine |
| Le précepteur que vous avez donné à la vicomtesse et qui était fortement recommandé par vous, a pris la fuite avant-hier, après avoir volé pour vingt mille francs de diamants | Théât. d'éduc. l'Intrig. I, 3 | fuite |
| Comme vous avez les yeux rouges ! vous avez pleuré, je gage | Théât. d'éduc. la Lingère, I, 2 | gager |
| Cette folie te gagne, je t'en avertis, prends-y garde | Théât. d'éduc. Fausses délicatesses, I, 1 | gagner |
| Comme toutes les femmes galantes, elle aime à disserter sur les passions | Mme de Maintenon, t. I, p. 123, dans POUGENS | galant, ante |
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| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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| Or c'est un grand chemin jadis assez frayé | RÉGNIER | Sat. XI | frayé, ée [1] |