Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "pâtir" du dictionnaire de français Littré

J'ai une tendresse pour mes chevaux qu'il me semble que c'est moi-même, quand je les vois pâtir ; je m'ôte tous les jours pour eux les choses de la bouche

(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, l'Avare, III, 5)