Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "femme" du dictionnaire de français Littré
J'aurais bien mieux fait, tout riche que je suis, de m'allier en bonne et franche paysannerie que de prendre une femme qui se tient au-dessus de moi
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, G. Dandin, I, 1)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Croyez-moi, celles qui font tant de façons n'en sont pas estimées plus femmes de bien | Critique, 3 | femme |
| Ma mie, vous me fendez le coeur ! consolez-vous, je vous prie | Mal. im. I, 9 | fendre |
| Les dieux sont-ils de fer ? | Prol. Amph. | fer [1] |
| Et j'ai battu le fer en mainte et mainte salle | l'Étour. IV, 3 | fer [1] |
| Monsieur le batteur de fer, je vous apprendrai votre métier | Bourg. gent. II, 3 | fer [1] |
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Citations d'autres auteurs extraites de l'article "femme" du dictionnaire de français Littré
| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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| Et perdez-vous encor le temps avec des femmes ? | CORNEILLE | Hor. II, 7 | femme |
| Que la vengeance est douce à l'esprit d'une femme ! | CORNEILLE | Cinna, V, 2 | femme |
| Mon père, je suis femme et je sais ma faiblesse | CORNEILLE | Poly. I, 4 | femme |
| Quoi que veuille exiger une femme adorée | CORNEILLE | Othon, II, 4 | femme |
| Vous aimez, vous plaisez, c'est tout auprès des femmes | CORNEILLE | Pulch. III, 3 | femme |