Citation de COLLIN D'HARLEVILLE extraite de l'article "retraite [1]" du dictionnaire de français Littré
J'entends une retraite isolée et profonde, Et non celle où toujours le voisinage abonde
(Jean-François COLLIN D'HARLEVILLE, Chât. en Esp. III, 2)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Eh oui ! votre réception Me touche, me pénètre ; elle est et noble et franche : Ne pourrai-je chez moi prendre un jour ma revanche ? | Chât. en Espagne, II, 4 | revanche |
Puis se marie, épouse une fille de rien, Dont le moindre défaut fut de naître sans bien | Vieux célib. IV, 11 | rien |
Il me vient un projet d'une grande importance, Et qui me rit | Inconst. III, 12 | rire |
Ma fortune est assez ronde, vous le savez | Vieux célib. II, 6 | rond, onde [1] |
La jeunesse à l'amour est livrée, Et l'âge mûr au soin d'établir sa maison ; Croyez-moi, le bonheur est de toute saison | Optimiste, III, 9 | saison |
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