Citation de MAIRET extraite de l'article "moqueur, euse" du dictionnaire de français Littré
Jamais un généreux vainqueur N'affligea les vaincus d'un langage moqueur
(Jean de MAIRET, Sophon. III, 4)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
Mais que veut cette esclave avecque ce mouchoir ? |
Soliman, III, 2 |
mouchoir |
Si l'étrange accident que vous allez entendre N'eût ranimé mon feu qui mourait sous la cendre |
Sophon. IV, 1 |
mourir |
D'une nécessité faites une vertu |
Sophon. V, 2 |
nécessité [1] |
Poursuivons donc, Romains, achevons la victoire ; Qu'un nombre de captifs augmente votre gloire |
M. d'Asdrubal, I, 1 |
nombre |
On ne me verrait pas détruit comme je suis, Ni l'esprit aveuglé d'un nuage d'ennuis |
Sophon. I, 1 |
nuage |
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Citation |
Auteur |
Œuvre |
Entrée |
Le Français quelquefois est léger et moqueur ; Mais toujours le mérite eut des droits sur son coeur |
VOLTAIRE
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Événements de 1744 |
moqueur, euse |
On s'est moqué de ce système ainsi que des anguilles nées de blé ergoté ; car on est moqueur en Gaule aussi bien qu'en Grèce |
VOLTAIRE
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Dial. XXIX, 9 |
moqueur, euse |
Les gens moqueurs ne savent rien approfondir ; ils sont toujours superficiels |
GENLIS
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Maison rust. t. II, p. 180, dans POUGENS |
moqueur, euse |
Il y a encore des vers moqueurs que fit le poëte Claudien contre l'eunuque Eutropius, consul et patrice de l'empire |
GUEZ DE BALZAC
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De la cour, 1er disc. |
moqueur, euse |
Tandis que mon faquin, qui se voyait priser, Avec un ris moqueur les priait d'excuser |
BOILEAU
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Sat. III |
moqueur, euse |