Citation de ROLLIN extraite de l'article "supposé, ée" du dictionnaire de français Littré
Je ne range point au nombre des poëtes ni les sibylles, ni Orphée, ni Musée ; tous les savants conviennent que les poésies qui portent leur nom sont supposées
(Charles ROLLIN, Hist. anc. liv. XXV, ch. I, I, 1)
Autres citations de Charles ROLLIN
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Mithridate, dans la lettre qu'il écrivit à Arsace, roi des Parthes, accuse les Romains d'avoir supposé un faux testament d'Attale, pour frustrer Aristonic, fils d'Eumène, du royaume de son père | Hist. anc. Oeuvr. t. IX, p. 357 | supposer |
| [à Sparte] une mère recommandait à son fils qui partait pour une campagne, de revenir avec son bouclier, ou sur son bouclier | Hist. anc. Oeuvr. t. II, p. 530, dans POUGENS | sur [1] |
| Ce que Sylla fit mettre sur le sien [tombeau] : que jamais personne ne l'avait surpassé ni à faire du bien à ses amis, ni à faire du mal à ses ennemis | Hist. anc. Oeuv. t. IV, p. 129, dans POUGENS | sur [1] |
| Ils [Alexandre et Héphestion] étaient du même âge ; mais Héphestion avait sur lui l'avantage de la taille | Hist. anc. Oeuvr. t. VI, p. 252, dans POUGENS | sur [1] |
| Ai-je la main bien sûre ? dit-il [Cambyse, qui venait de tuer d'un coup de flèche le fils d'un de ses courtisans] | Hist. anc. Oeuv. t. II, p. 327, dans POUGENS | sûr, ûre |
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