Citation de CORNEILLE Th. extraite de l'article "raillerie" du dictionnaire de français Littré
Je ris quand on veut rire, et j'entends raillerie
(Thomas CORNEILLE, Baron d'Albikrac, V, 4)
Citation | Œuvre | Entrée |
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C'est là que de la fourbe il a fallu m'aider, Et que le jeu pour moi passait la raillerie | Gal. doubl. III, 1 | raillerie |
Je hais les raisons quand je veux quelque chose | l'Inconnu, II, 5 | raison |
Je ne viens point, madame, opposer a vos plaintes De faux raisonnements, ou d'injustes contraintes | Ariane, V, 6 | raisonnement |
J'ai paré de mon mieux les plus dangereux coups ; Mais tirer à la rame est un métier plus doux | Baron d'Albikrac, I, 9 | rame [2] |
Un esprit bas, rampant, qui ne sent que la fange | D. Cés. d'Av. III, 4 | rampant, ante |
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Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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Je tourne en raillerie un si fâcheux mystère | RÉGNIER | Sat. X | raillerie |
Et l'amertume enfin de cette raillerie.... | CORNEILLE | Théod. III, 5 | raillerie |
Quittez ces contre-temps de froide raillerie | CORNEILLE | Don Sanche, I, 4 | raillerie |
La raillerie est un air de gaieté qui remplit l'imagination, et qui lui fait voir en ridicule les objets qui se présentent ; l'humeur y mêle plus ou moins de douceur ou d'âpreté | LA ROCHEFOUCAULD | Réfl. div. p. 117 dans POUGENS | raillerie |
Ce qui n'était que jeu doit-il faire un divorce ? Et d'une raillerie a-t-on lieu de s'aigrir ? | MOLIÈRE | Amph. II, 6 | raillerie |