Citation de D'ALEMBERT extraite de l'article "morceau" du dictionnaire de français Littré
Je serai bien charmé de pouvoir digérer un peu à mon aise ce que j'ai été obligé d'avaler gloutonnement, en mettant, comme on dit, les morceaux en double
(Jean Le Rond D'ALEMBERT, Lett. à Voltaire, 29 août 1764)
| Citation | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|
| Ces deux petits morceaux sont écrits il y a longtemps, et, tout médiocres qu'ils sont, je ne serais pas en ce moment en état de les faire | Lett. au roi de Pr. 28 avr. 1777 | morceau |
| Savez-vous ce que dit Astruc ? ce ne sont point les jansénistes qui tuent les jésuites, c'est l'Encyclopédie, mordieu | Lett. à Volt. 4 mai 1762 | mordieu |
| Je vous répondrai, mon cher maître, par un proverbe bien trivial mais bien vrai, qu'à laver la tête d'un mort ou d'un Maure, on y perd sa peine | Lett. à Voltaire, 6 avr. 1773 | more |
| Enfin la joie bête et ridicule de tous les fanatiques au sujet de cette mort [de Voltaire] | Lett. au roi de Pr. 29 juin 1778 | mort [3] |
| Cette aventure commence à réconcilier les jansénistes avec l'inquisition, qu'ils haïssaient jusqu'ici mortellement | Lett. à Voltaire, 31 oct. 1761 | mortellement |
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