Citation de D'ALEMBERT extraite de l'article "force" du dictionnaire de français Littré
Je suis toujours étonné que vous ne sentiez pas votre force et que vous ne traitiez pas tous les polissons qui vous attaquent comme vous avez fait Aliboron
(Jean Le Rond D'ALEMBERT, Lett. à Voltaire, 4 août 1767)
Citation | Œuvre | Entrée |
---|---|---|
Il [Corneille] a un nom très respecté, il est mort ; voilà déjà une raison bien forte (je ne dis pas bien bonne) en sa faveur | Lett. à Voltaire, 27 janv. 1762 | fort, orte |
Je puis assurer à Votre Majesté que ces mots précieux à la raison ont fait autant de fortune que son bel éloge de l'impératrice reine | Lett. au roi de Prusse, 30 mars 1781 | fortune |
Devant cet arrêt foudroyant l'abbé Raynal s'est mis à couvert et hors de France | Lett. au roi de Prusse, 3 mars 1782 | foudroyant, ante |
Raton n'a rien à craindre pour ses pattes, et il n'y a pas de quoi fouetter un chat dans la petite espièglerie qu'il vient de faire | Lett. à Voltaire, 4 fév. 1773 | fouetter |
Au reste, le fourrage qu'ils ont fait est peu de chose, et le discours n'y perdra rien ou presque rien ; il n'y a pas en tout la valeur de six lignes effacées | Lett. à Voltaire, 21 juill. 1767 | fourrage [1] |
Plus de citations de D'ALEMBERT... |