Citation de SÉVIGNÉ extraite de l'article "terre" du dictionnaire de français Littré

Je trouvai au bout du mail le frater [Ch. de Sévigné], qui se mit à deux genoux aussitôt qu'il m'aperçut, se sentant si coupable d'avoir été trois semaines sous terre à chanter matines, qu'il ne croyait pas me pouvoir aborder d'une autre façon

(Marie de Rabutin-Chantal, marquise de SÉVIGNÉ, 235)