Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "pendu, ue" du dictionnaire de français Littré
Je veux demeurer pour t'encourager à la mort, et je ne te quitterai point que je ne t'aie vu pendu
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, Médecin malgré lui, III, 9)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Les gens comme vous ont toujours les yeux pénétrants | Am. magn. II, 4 | pénétrant, ante |
Serais-je si malheureuse, madame, que vous eussiez de moi cette pensée ? | Crit. 3 | pensée [1] |
Il est attaché à ses pensées | Am. magn. I, 1 | pensée [1] |
Je le ferai connaître, Et vous montrerai bien.... Qu'on n'est pas où l'on pense en me faisant injure | Tart. IV, 7 | penser [1] |
Mon tailleur m'a envoyé des bas de soie que j'ai pensé ne mettre jamais | Bourg. gent. I, 2 | penser [1] |
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