Citation de A. LEBAS extraite de l'article "cange" du dictionnaire de français Littré

La cange, luttant avec peine, à l'aide de toute sa voilure, contre un courant de quatre à cinq noeuds, avait à peine doublé le tiers d'Abou-feddha, qu'une rafale, tombée à bord comme un coup de foudre, fit craquer son grand mât

(A. LEBAS, L'obélisque de Luxor, Paris, 1839, p. 40, dans JAL)