Citation de D'ALEMBERT extraite de l'article "étonné, ée" du dictionnaire de français Littré
La faiblesse de ma tête toujours vide et étonnée m'empêcherait, quand je l'oserais, de suivre plus loin ces réflexions
(Jean Le Rond D'ALEMBERT, Lett. au roi de Prusse, 9 mars 1770)
| Citation | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|
| S'il était possible qu'elle [l'Encyclopédie] s'imprimât dans le pays étranger, en continuant, comme de raison, à se faire à Paris.... | Lett. à Volt. 28 janv. 1757 | étranger, ère [1] |
| Aussi disait-on de Fontenelle qu'il avait été le patriarche d'une secte dont il n'était pas | Élog. Despréaux. | être [1] |
| Despréaux est pour eux une grande autorité, ne fût-ce que parce qu'il est mort | Latin des modernes | être [1] |
| Ne craignez rien, cette canaille ne fera pas fortune ; le dogme qu'ils prêchent et la morale qu'ils enseignent sont trop absurdes pour étrenner | Lett. à Voltaire, 2 mars 1764 | étrenner |
| Je ne le vois pas bien affermi sur ses étriers | Lett. à Voltaire, 18 oct. 1760 | étrier |
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