Citation de D'ALEMBERT extraite de l'article "convulsion" du dictionnaire de français Littré
La folie des convulsions, qui avait causé des querelles dans le parti même [des jansénistes], avait achevé de les avilir en les rendant ridicules
(Jean Le Rond D'ALEMBERT, Destr. des jésuites, Oeuvres, t. V, p. 72, dans POUGENS.)
Citation | Œuvre | Entrée |
---|---|---|
On assure que, dès le lendemain de l'expulsion des jésuites, les convulsionnaires ont commencé à la prédire ; c'est ainsi qu'ils ont toujours prophétisé | Destr. des jésuites, Oeuvres, t. V, p. 137, dans POUGENS. | convulsionnaire |
L'un d'eux est convulsionniste décidé, et vraisemblablement convulsionnaire, surtout si on en juge par son style | Destr. des jés. Oeuvres, t. V, p. 194, dans POUGENS. | convulsionniste |
Ce roman [Télémaque], que Fénelon avait uniquement destiné pour le duc de Bourgogne, son élève, vit le jour par l'infidélité d'un domestique qui en avait pris une copie | Éloges, Fénelon. | copie |
Cette multitude nombreuse, éblouie et subjuguée par les décorations extérieures, et à qui un cordon en impose plus qu'un bon ouvrage | Éloges, Clerembaut. | cordon |
Ce vaste univers que nous appelons monde corporel ou la nature | Encycl. Disc. prélim. Oeuvres, t. I, p. 238, dans POUGENS. | corporel, elle |
Plus de citations de D'ALEMBERT... |