Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "rougeole" du dictionnaire de français Littré
La maladie qui emporta le Dauphin duc de Bourgogne, sa femme et son fils, était une rougeole pourprée épidémique
(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, Louis XIV, 27)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| J'ai une pension du roi, je rougirais de la recevoir tant qu'il y aura des officiers qui souffriront | Lett. Thiriot, 31 janv. 1761 | rougir |
| Il pourrait faire rougir la Sorbonne, si les corps rougissaient | Lett. Damilaville, 10 avril 1767 | rougir |
| La philosophie ne put, il est vrai, effacer la rouille scolastique ; mais Corneille commença, en 1636, par la tragédie du Cid le siècle qu'on appelle celui de Louis XIV | Moeurs, 176 | rouille |
| La rouille de la barbarie était si forte, que des hommes ne savaient pas goûter des plaisirs honnêtes | Dict. phil. Bouffon. | rouille |
| Je suis assez semblable aux girouettes qui ne se fixent que quand elles sont rouillées | Lett. d'Albaret, 10 avr. 1759 | rouillé, ée |
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Citations d'autres auteurs extraites de l'article "rougeole" du dictionnaire de français Littré
| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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| On me mande qu'il y a de la rougeole à Livry | SÉVIGNÉ | 78 | rougeole |
| La pauvre Sanzei a la rougeole bien forte ; c'est un feu qui passe vite, mais qui fait peur par la violence dont il est | SÉVIGNÉ | 5 janv. 1674 | rougeole |