Citation de ROUSSEAU extraite de l'article "timbre [1]" du dictionnaire de français Littré
La voix s'affermit et prend du timbre
(Jean-Jacques ROUSSEAU, Ém. V)
Citation |
Œuvre |
Entrée |
Je suis bien aise que vous ayez en main toutes les pièces sur lesquelles vous pourrez juger à loisir si je suis timbré ou non |
Corresp. du Peyrou, t. III, p. 251, dans POUGENS |
timbré, ée |
J'ai reçu le 12 de ce mois par la poste une lettre anonyme, sans date, timbrée de Lille et franche de port |
Lett. à Panckoucke, 15 fév. 1761 |
timbré, ée |
Un âme noble et fière a beau se roidir et s'élever, un tempérament timide ne peut se refondre |
Lett. à M de St-Germ. Corresp. t. VII, p. 238, dans POUGENS. |
timide |
En devenant plus malheureux, je suis devenu plus timide, et jamais je n'ai menti que par timidité |
4e promen. |
timidité |
Non de cette aimable timidité qui vient de la crainte de déplaire, mais de l'embarras d'un sot qui ne sait que dire, et du malaise d'un libertin qui ne se sent pas à sa place auprès d'une honnête fille |
Hél. II, 18 |
timidité |
Plus de citations de ROUSSEAU... |
Citations d'autres auteurs extraites de l'article "timbre [1]" du dictionnaire de français Littré