Citation de G. ARAGON extraite de l'article "apocale" du dictionnaire de français Littré

Le côté réaliste de ce tableau poétique était dû à l'abominable odeur d'huile d'apocale, dont l'air était imprégné ; l'apocale est le requin des mers glaciales, on le prend avec des émérillons par des profondeurs de 500 à 600 mètres

(G. ARAGON, Un voyage en Islande, dans Rev. des Deux-Mondes, 15 oct. 1875)