Citation de CHATEAUBRIAND extraite de l'article "ton [2]" du dictionnaire de français Littré
Le ciel [à Smyrne], moins pur que celui de l'Attique, avait cette teinte que les peintres appellent un ton chaud, c'est-à-dire qu'il était rempli d'une vapeur déliée, un peu rougie par la lumière
(François René CHATEAUBRIAND, Itin. 2e part.)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Elle [la religion, par rapport à la peinture] donne des tons plus sublimes à la figure humaine | Génie, III, I, 3 | ton [2] |
Elle [Joppé] devint une des onze toparchies où l'idole Ascarlen était adorée | Itin. part. 3 | toparchie |
Il [Massinissa] avait allumé les torches nuptiales [mariage avec Sophonisbe] devant les dieux domestiques de Syphax | Itinér. part. 7 | torche [1] |
Partout se présentaient et des chaires légèrement suspendues, et des vases surmontés de flammes, et des balcons, et de hautes torchères, et des balustres en marbre, et des stalles sculptées | Génie, IV, I, 2 | torchère |
Il n'y avait si pauvre banni qui ne dessinât les tortillons d'un jardin anglais dans les dix pieds de terre ou de cour qu'il avait retrouvés | Mém. d'outre-tombe, éd. de Bruxelles, t. II, Années de ma vie 1802 et 1803, châteaux, etc. | tortillon |
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