Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "franc, franche [3]" du dictionnaire de français Littré
Le comte son beau-père [de Frédéric Barberousse], nommé Renaud, ayant obtenu de grandes immunités en faveur de ce mariage, s'intitula le comte franc, et c'est de là qu'est venu le nom de Franche-Comté
(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, Ann. Frédéric 1er, 1156)
Citation | Œuvre | Entrée |
---|---|---|
Ne sachant pas si vous avez vos ports francs pour les gros paquets qui ne viennent point de votre gouvernement | Lett. Richelieu, 7 août 1773 | franc, franche [3] |
Je suis un franc provincial qui croit qu'on peut s'occuper à Paris de ce qui se passe dans son village | Lett. d'Argental, 27 janv. 1766 | franc, franche [3] |
J'ai une grâce à demander à votre Altesse Royale, c'est, tout franc, qu'elle me loue un peu moins | Lett. prince de Prusse, 114 | franc, franche [3] |
Cet acte, qui paraît si ridicule à milord Bolingbroke, à Woolston, et à tous les franc-pensants | Déf. de Bolingbroke, ch. 32 | franc, franche [3] |
Il ne reste pas trois ans [de bonheur] franc et quitte pour les plus heureux | Dial. XXIV, 16 | franc, franche [3] |
Plus de citations de VOLTAIRE... |