Citation de RETZ extraite de l'article "vacation" du dictionnaire de français Littré
Le lendemain qu'elle fut publiée et enregistrée, qui fut le 24 octobre 1648, le parlement prit ses vacations
(Jean-François Paul de Gondi, cardinal de RETZ, Mém. t. I, liv. II, p. 225, dans POUGENS)
| Citation | Œuvre | Entrée |
|---|---|---|
| La pourpre ne l'empêcha pas de demeurer valet sous Richelieu | Mém. t. I, liv. II, p. 133, dans POUGENS | valet [1] |
| Nous ne tirâmes de lui que des vanteries, comme, par exemple, qu'il me défendrait mieux que je ne me défendrais moi-même | Mém. t. II, liv. III, p. 109, dans POUGENS | vanterie |
| La cour étonnée en viendra à un accommodement | Mém. t. I, liv. II, p. 412, dans POUGENS | venir |
| J'eus quelque vent, dans le temps même, du dessein de Touteville | Mém. t. III, liv. IV, p. 405, dans POUGENS | vent |
| Millancourt, qui me servait de second, avait été blessé dans le ventre et désarmé | II, 9 | ventre |
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