Citation de GENLIS extraite de l'article "or [2]" du dictionnaire de français Littré
Le premier auteur qui parle de faire de l'or est Zozime, qui vivait dès le commencement du cinquième siècle
(Stéphanie Félicité Ducrest de St-Albin, comtesse de GENLIS, Maison rust. t. II, p. 186, dans POUGENS)
Citation | Œuvre | Entrée |
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Les pepins des oranges de Malte, selon quelques habiles orangistes, valent mieux | Maison. rust. t. II, p. 476, dans POUGENS | orangiste [2] |
Dites-lui que je lui défends de paraître devant moi jusqu'à nouvel ordre | Mme de Maintenon, t. II, p. 218, dans POUGENS | ordre |
Les oreilles [des chevaux] doivent être petites, hardies et bien placées en haut de la tête, et non pas basses et tombantes, ce qu'on appelle oreillards | Maison rustique, t. I, p. 189, dans POUGENS | oreillard, arde |
Il m'en a bien dit quelque petite chose ; mais j'ai fait la sourde oreille | Théât. d'éduc. l'Amant anonyme, IV, 2 | oreille |
L'orge, coupée en vert et donnée largement aux chevaux, mules, boeufs et autres animaux de labour, devient pour eux une nourriture très saine et qui vaut mieux que tous les remèdes imaginables | Maison rust. t. III, p. 57, dans POUGENS | orge |
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