Citation de VOLTAIRE extraite de l'article "timide" du dictionnaire de français Littré
Le roi [Louis XIV] la vit [Christine].... mais à peine lui parla-t-il ; élevé dans l'ignorance, le bon sens avec lequel il était né, le rendait timide
(François-Marie Arouet, dit VOLTAIRE, Louis XIV, 6)
| Citation | Œuvre | Entrée |
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| Hélas ! le citoyen, timidement fidèle, N'oserait en ces lieux imiter ce saint zèle | Oreste, II, 2 | timidement |
| Cette timidité savante qui arrêtait Locke sur le bord des abîmes | Lett. à M***, 1740 | timidité |
| On ne perd les États que par timidité | Fanat. I, 1 | timidité |
| Pénitent d'autant plus timoré qu'il était ignorant | Éduc. d'un prince. | timoré, ée |
| Il me semble qu'une femme est d'ordinaire moins timorée qu'une fille | Dict. phil. Terelas. | timoré, ée |
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Citations d'autres auteurs extraites de l'article "timide" du dictionnaire de français Littré
| Citation | Auteur | Œuvre | Entrée |
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| Monsieur [le frère de Louis XIII] était timide et paresseux au souverain degré | RETZ | Mém. t. II, liv. III, p. 447, dans POUGENS | timide |
| Est-il possible, dis-je, qu'un homme si assuré dans la guerre soit si timide en amour ? | MOLIÈRE | Am. magn. I, 1 | timide |
| Et, timide à l'aimer, je meurs [je brûle] d'en être aimée | CORNEILLE | Toison d'or, IV, 2 | timide |
| Une amante moins belle aime mieux, et du moins, Humble et timide à plaire, elle est pleine de soins | CHÉNIER | Élégies, II, 17 | timide |
| Le malheur et le repentir l'avaient rendu timide envers la destinée | STAËL | Corinne, I, 1 | timide |