Citation de MOLIÈRE extraite de l'article "penser [2]" du dictionnaire de français Littré
Le seul penser de cette ingratitude Fait souffrir à mon âme un supplice si rude
(Jean-Baptiste POQUELIN, dit MOLIÈRE, Tart. III, 7)
Citation | Œuvre | Entrée |
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J'ai une pente naturelle à me laisser aller à tout ce qui m'attire | Fest. III, 6 | pente |
Prêchez, patrocinez jusqu'à la Pentecôte | Éc. des femmes, I, 1 | pentecôte |
Premièrement, elle a les yeux petits. - Cléonte : Mais elle les a pleins de feu, les plus brillants, les plus perçants du monde, les plus touchants qu'on puisse voir | Bourg. gent. III, 9 | perçant, ante |
Il n'y avait personne qui n'eût l'âme percée de voir un si bon naturel | Fourber. I, 2 | percé, ée [1] |
Tu n'en perds que l'attente, et je te le promets | le Dép. III, 10 | perdre |
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